PENSEES DE PAQUITA
A quoi passe-tu le plus longtemps de ta vie,
A penser à ce que demain tu vas devenir ?
Alors que tu oublies ce que tu es aujourdhui !
Si tu veux vivre ta vie vraiment heureux,
Il ne faut pas que tu mettes des conditions.
Possible que tu serais certainement tourmenté
Si tous tes rêves vaniteux se réalisaient!
Allumes plutôt vite une bougie,
Mais ne maudit pas lobscurité de la nuit.
La nuit cest juste là que jécris et je prie.
Donne ton cur à Jésus pendant quil est encore temps,
Demain, sera qui sait ! Possible trop tard !
Tu sais prier dans ta détresse et ton besoin ;
Oserais-tu prier dans la richesse de tes biens ?
Il n'y a pas plus grand bonheur dans la vie :
Que se sentir aimé par sa famille et ses amies
Et surtout Dieu et son fils Jésus-Christ.
Paquita

DANS LA SAINTE CITEE
Oh ! mon Seigneur que mon âme est ravie
Tout au creux de mon coeur une joie vivifie
Lorsque je dis ton nom, alors tu me fortifies
Et toutes mes douleurs tout à coup je les oubli.
Je voudrais mon Seigneur le reste de ma vie
Vivre pour t'aimer, t'adorer, et toujours te servir,
Et ne jamais rétrograder, non! jamais de la vie !
Que tu sois le rocher qui retient mes folies.
Et si un jour je devais par faiblesse te désobéir
Frappes-moi de ton fouet, fais-moi me repentir
Je veux te rencontrer dans ma deuxième vie
Dans la Sainte Citée, ma chance serait inouïe.
Paquita le 18/7/03

AU MILIEU DE CE MONDE
C'est un amour si profond
Enraciné dans mon coeur
Que je ressens pour toi Seigneur
Que je pleure d'émotion.
Je t'aime !
A ne savoir quoi te dire
Devant les meurtrissures
De toutes tes blessures.
Causées par nous faibles créatures.
Je t'aime!
D'une force profonde
Au milieu de ce monde
Si glacial, si immonde
Ton amour de joie m inonde.
Je t'aime!
A oublier mes douleurs
A le crier très très fort
Sur les toits de maisons
Je t'aime mon Sauveur.
Je t'aime!
D'une âme repentante
D'une voix un peu tremblante
De désobéir, pas contente
Je t'aime et je le chante.
Je t'aime!
Bénis-moi chaque jours
Gardes-moi comme un bijoux
Près de toi mon Jésus.
Je t'aime pour toujours.
Paquita le 18/7/03

PETITE FEUILLE MORTE
Petite feuille morte,
Errant sur le trottoir,
Un petit vent t,emporte,
Vers ton destin final.
Tu frappes fort aux portes,
Criant ton désespoir,
Mais te manquant la force,
Personne ne t'entendra.
On t'ouvre, mais peu importe !
Ton chagrin, c'est banal !
Ta branche deviendra plus forte,
Il faut que tu t'en ailles.
Ne gémis plus, supporte !
Ce n'est pas du tout grave,
Certes ! tu es une feuille morte,
Mais tu n'es point malade,
Tu es simplement un peu pâle.
Calme-toi soit très forte !
Cesse tes jérémiades !
Car si un vent doux t'emporte,
Comme à tes camarades.
D'autre plus désinvolte,
Le printemps prochain s'installe,
Et toi petite feuille morte,
Tu la crois ta rivale.
La loi de la nature est forte,
Ta longévité n'est pas infinie,
Ne frappe plus aux portes !
Personne ne veut t'ouvrir;
C'est l'été qui vient de s'en fuir,
Et toi l'automne ma jolie,
Ta vie est bien finie.
Paquita Rocchia le 15-9-01

HOMME PETIT POINT
L'homme révolté, à la montagne est monté,
Du haut du sommet, à haute voix se mit à hurler,
Pour sa chair et son corps, liberté ! liberté !.
Soudain, en fixant son regard vers le ciel,
Une pensée envoyée de la part de l'éternel,
Très petit et fragile, lui-même il s'est jugé !
Se disant, c'est tout à fait ça, la pure réalité,
Qu'il était peu de chose, si fort qu'il se croyait,
Un point minuscule au centre de l'univers,
Pour le tout Puisant, un tout petit jouet.
************************
Un regard de surprise ; plein de curiosité,
Une question posée, d'une réponse inversé,
Croyant tout savoir, pouvant tout ignorer,
Un petit bâton, pour appuyer ses lourdes années.
Qui seront qui sait, nombreuses sans force pour les compter,
Une ambition de pouvoir, une force relâchée,
Un minimum de bonté, une grande part de méchanceté,
Un maximum de recevoir, un minimum de donner.
Autonome aujourd'hui, moins vigoureux demain.
Et l'homme s'arrêta épuisé, a force d''avoir tant crier !
Trouva que le silence et l'attente sont deux formes de liberté.
A quoi bon lui avait servi de se croire si grand, avant de monter,
Sur cette énorme montagne qui sagement l'avait révélé
Le petit point qu'il était, au milieu de l'immensité?
Moralité ! avant de monter très haut, sachez bien mesurer,
Ta taille minuscule d' homme sans aucune autorité,
Pour commander le créateur qui a la digne Souveraineté,
Pour savoir si toi petit homme, tu as besoin de liberté,
Sans révolte, acceptant patiemment ton destin, sans crier,
Car les oreilles de l'Éternel, sont toujours débouchées,
Attentives pour ceux qui ont la manière de savoir lui supplier,
Humblement, sans s'irriter, comme quelqu'un de sensé.
Paquita Rocchia le 13-2-99

Ta vraie liberté
Tu vis ta foi, mais sans loi.
Tu dis vouloir en profiter
Profiter ? dis-moi de quoi
Tu dis de ta liberté.
La loi Divine n'est pas esclavage,
C'est vivre en paix en devenant sage
Mais Dieu jamais ne t'obligera
De vivre à ta guise te laisse le choix.
Tu vis ta foi, mais sans loi...
Tu dis vouloir en profiter
Profiter ? dis-moi de quoi
Tu dis de ta liberté.
Tu as juste à lui donner ton coeur
Je peux prier, plus tard tu seras ma soeur,
Et comme moi tu connaîtras le bonheur,
Et l'amour pour ton Sauveur.
Tu vis ta foi, mais sans loi...
Tu dis vouloir en profiter
Profiter ? dis-moi de quoi
Tu dis de ta liberté.
Commence par une simple prière
Dis-lui éclaires-moi mon père !
Parce que je ne sais pas quoi faire
Montres-moi tes vrais mystères.
Tu vis ta foi, mais sans loi...
Tu dis vouloir en profiter
Profiter ? dis-moi de quoi
Tu dis de ta liberté.
Je peux te dire avec assurance,
Que même tes jours de souffrances
Tu auras un soutien, une espérance,
Et un coeur rempli de réjouissance.
Veux-tu vivre ta foi sans loi ?
Veux-tu toujours en profiter ?
Il attend de toi, un appel, amen !
Et tu connaîtras la vraie liberté.
Paquita 6/5/03

J'AI CHOISI UN BON MAITRE
Je sais que tu me guettes
Et moi je te rejette
Ce que tu peux promettre
Jen veux pas, je regrette.
Tu es frayeur
Tu es trompeur
Tu es douleur
Tu es malheur.
Tu voudrais m'enrichir
Me combler des plaisirs
Mais j'ai bien réfléchir
Tu veux me faire mourir.
Tu es malaise
Tu es détresse
Tu es tristesse
Tu es oppresse.
J'ai choisi un bon maître
Je le sert de tout mon être
A lui on peut se soumettre
Il procure joie et bien-être.
Il est Seigneur
Il est Sauveur
Il est Grandeur
Il est bonheur.
Paquita 21-11-02
AMITIE CHERE
Aimer dans la difficulté,
Donner sans rien espérer,
Ne penser qu'à épauler,
Pleurer devant le chagrin,
Se réjouir face à la gaieté
C'est cela la vraie amitié.
Être toujours disposé,
Sans aucun arrière pensée,
Ni aucun genre d'intérêt,
Prête à tout sacrifier,
C'est cela la vraie amitié
Savoir garder les secrets,
Sans jamais les divulguer,
Comme si ces secrets tombaient,
Dans des oreilles blindées,
C'est cela être une amie vraie.
Savoir tout partager,
Les joies comme les chagrins,
Les deuils et les festins
" Et savoir surtout écouter "
C'est cela être une amie vraie.
Ne pas rester indifférente,
Si la personne est souffrante,
Une visite, toujours souriante,
Voilà une amitié qui enchante.
Qui aurait l'audace de dire, !
De l'amitié je n'en veux pas,
Personne n'est capable de vivre,
Sans affection, incontestablement.
L'amitié est une si grande nécessité,
Pour vivre, comme l'eau, l'air, le pain,
Si nécessaire que l'amour et la santé.
Paquita Rocchia
A TOI MA TERRE MERE
Ô! Ma planète mère, les hommes te négligent,
Et moi pour toi ma terre, je me sens un peu triste,
De voir ta meurtrissure, par ceux qui te salissent,
Je prie pour toi Ô! Terre, des êtres comme moi existe,
Qui pleurent ta misère, ta peine, ton supplice.
Amoureuse de ta beauté je te peins comme une artiste,
Et par mes simples mots, ma plume danse, crisse,
Sur mon cahier tout blanc à l'encre, sur sa piste,
Notre mère nourricière, tu souffres nos immondices,
Que l'on verse dans ta mer, les poissons sont aussi tristes,
Tes cieux bleus se parsèment de nuées noires et grises.
Comment peut-on Terre mère, te négliger ainsi!!
Toi qui donnes la source nécessaire à nos vies,
Et que depuis toujours à tout homme nourris,
Qui nous donne l'oxygène et tout est gratuit,
Pourrons un jour comprendre, que tu es Paradis!!!
Et soigner tes blessures qui te font tant souffrir,
Déséquilibrant tes saisons tu t'exprimes ainsi,
Ils n'on jamais mesuré, ta valeur ni ton prix,
Terre de mes amours, mon âme te béni,
Une larme d'amour, glisse sur me joues aujourdhui
Exprimant tout l'émoi de mon coeur endolori.
Paquita Rocchia le 24-5-01
UNE FLEUR RARE, UNE MERE
L'univers enferme tellement de choses merveilleuses!
Les fleurs champêtres, les arbres, les belles roses,
Mais la plus jolie de toute fleur fraîche et éclose
C'est une mère, une fleur rare et assez mystérieuse.
A la senteur de l'amour, sa douceur est grandiose,
Une mère est une émeraude, cette pierre précieuse,
Verte comme l'espoir, raffinée, délicate, lumineuse,
Qui brille d'amour pour nous, mais avant toute chose,
Une fée qui ferait la magie pour rendre nos âmes heureuses.
Elle est comme une mer sereine, dans toute sa splendeur,
Comme un oiseau céleste à la voix d'un rossignol
Celle qui berce nos peines, qui essuie les larmes de nos douleurs
Qui veille sur nous, même lorsque nous grandissons.
Que nous soyons mariés ou que nous restions à sa maison,
Nous occupons une place dans sa raison, dans son coeur,
Une mère c'est la plus grande fortune que nous ayons
Et nous sommes dépaysés, le jour où nous la quittons.
C'est d'une valeur naturelle lorsque nous la possédons,
Mais si un jour elle quitte la Terre pour aller dans les cieux
Là nous saurons apprécier son amour et son immense valeur,
Aujourd'hui c'est sa fête, rendons-leur un grand honneur!
Bonne fête à toutes les mères du monde et des nations.
Paquita Rocchia mai 2001
LE REGARD D'UN ENFANT
Rien n'est plus beau, que le regard d'un enfant, Au moment où sa maman le nourrit de son sein, Leurs connivences entre ces deux tendres regards, Et la complicité entre la mère et son petit chérubin, Sentiments profondément touchants, à contempler.
Avez-vous examiné le regard d'un enfant orphelin ? Ses yeux exprimant le manque d'amour et de tendresse, Lançant un SOS pour qu'on l'accorde un appui, un soutien, Pour qu'une main dadulte, puisse le combler des caresses !
Avez-vous observé le regard d'un enfant du tiers monde ? On peut lire dans ses yeux, une lueur de tristesse profonde, Comme voulant exprimer sa misère et sa détresse, à tout le monde ! Sans comprendre pourquoi, chez dautres enfants le bonheur abonde.
Avez-vous contemplé le regard d'un enfant qui a faim ? Ses yeux ternes et cernés, exprimant sa privation, Son regard dans le vide, pensant à tout et à rien, Seul un morceau du pain, lui donnerait satisfactions, Rassis, Sec, dur, peut importe, calmerait son besoin.
Paquita Rocchia

LES FRUITS DE NOS RANCONS
Nous sommes nés sur terre
Simplement pour nous aimer
Non pas pour nous faire la guerre
Ni haïr notre prochain.
Nous sommes un jour nés
Parce que Dieu la voulu
La plupart de souffrance vient
Parce que nous sommes tordus.
Beaucoup des maladies
C'est nous qui la cherchons
Nous savons pas obéir
A certaines instructions.
Maladies vénériennes,
C'est dans la race humaine
Par les contrefaçons
Pour le plaisir du corps.
Maladies cardiaques,
C'est la graisse qui attaque
Le lard, la graisse de cochon,
Vas-y le cholestérol.
Et si l'on cherche encore,
Nous battons le records
Alors à qui incombe la faute ?
A nous qui sommes sottes.
Puis je dis que souffrir,
Fait parti de la vie
Une vie sans douleurs
Nous l'aurons plus tard la haut
Mais si nous la méritons
Paquita
MES FLEURS CHAMPETRES
Lorsque j'étais enfant,
J'allais cueillir des fleurs
En sautant en chantant,
Avec mes autres soeurs.
Je m'installais sur l'herbe,
Dans le champ coloré,
Et par le chant du merle,
Je me laissai bercée.
Ma robe à trois volants
Qui traînait sur ce sol
La caresse du vent
Qui rendait les tiges folles.
Et mon visage Blafard
Rougissait au soleil brûlant,
Ce reluisant soleil
Au reflet doré vermeil.
Le parfum du romarin
Egayé mes pensées
La lavande et le thym
Me montaient jusqu'au nez.
Ma robe l'imprégnant
A trois volants froncée.
Rouge à pois noirs,
Très longue jusqu'au pied.
Que je mettais souvent
Lorsque j'allais chanter
Et danser en claquant
Juste pour m'amuser.
Et je souriais de joie
Lorsqu'un papillon se posé
Sur les fleurs des champs
Que j'avais ramassé.
C'est avec un grand émoi
Que le cadeau je lui donnai
A ma douce maman
Parce que je l'adorais.
Ces jolies fleurs champêtres
De toutes les couleurs
Embaumaient la maisonnette
D'une odeur de bonheur.
Paquita Rocchia Juillet 02

MES FLEURS CHAMPETRES
Lorsque j'étais enfant,
J'allais cueillir des fleurs
En sautant en chantant,
Avec mes autres soeurs.
Je m'installais sur l'herbe,
Dans le champ coloré,
Et par le chant du merle,
Je me laissai bercée.
Ma robe à trois volants
Qui traînait sur ce sol
La caresse du vent
Qui rendait les tiges folles.
Et mon visage Blafard
Rougissait au soleil brûlant,
Ce reluisant soleil
Au reflet doré vermeil.
Le parfum du romarin
Egayé mes pensées
La lavande et le thym
Me montaient jusqu'au nez.
Ma robe l'imprégnant
A trois volants froncée.
Rouge à pois noirs,
Très longue jusqu'au pied.
Que je mettais souvent
Lorsque j'allais chanter
Et danser en claquant
Juste pour m'amuser.
Et je souriais de joie
Lorsqu'un papillon se posé
Sur les fleurs des champs
Que j'avais ramassé.
C'est avec un grand émoi
Que le cadeau je lui donnai
A ma douce maman
Parce que je l'adorais.
Ces jolies fleurs champêtres
De toutes les couleurs
Embaumaient la maisonnette
D'une odeur de bonheur.
Paquita Rocchia Juillet 02

RAVISSEMENTS
Etoile, toi qui sais éclairer mes nuits sombres, Ô! Lune toi qui sais m'éblouir dans mes pénombres Ô! ciel d'ombre bleutée au soir lorsque la nuit tombe, Ton soleil orangé par sa splendeur m'inonde.
Ô! toi, bel arbre altier, tes frais et verts ramages, Où tous les oiseaux se servent de doux refuge, Et lorsque le vent souffle en sa funeste rage Je sais qu'alors pour eux tu peines et tu souffres.
Ô! toi la fleur champêtre aux beaux jours du printemps Ô! jolie pâquerette tu es cette fine princesse Qui éblouit mes yeux, ma vue et mon regard, Et je reste en extase devant ta joliesse.
Ô! toi beau rossignol qui a cette voix des anges, Et lorsque tu m'éveilles par ta douce mélodie Je me crois au Paradis entourée d'archanges Dont tu serais le grand Bonheur de ma vie.
Ô! mer majestueuse tes vagues déferlantes Me font peur à jamais, et à jamais m'enchantent Et malgré ta beauté je m'écarte, méfiante Sirène effarouchée d'une peur que je chante.
Ô! toi poésie qui sait si bien embellir ma vie, Comme une fraîche fleur odorante et jolie, Qui embaume mes jours et parfume mes nuits, Mon âme est jalouse quand loin de moi tu fuis.
Reste tout près de moi, ma Muse, je t'en prie!
Inspires des messages pour honorer Jésus-Christ Quelques nuits sans toi, et voici les cauchemars Car tes si doux messages sont mes ravissements,
Paquita Rocchia , le 12 février 2001

Ecoutes les oiseaux,
Ils semblent si heureux !
Regarde bien la fleur
S'éclore dans le champ
Ce matin de printemps.
Ecoutes les messages,
La voie des évangiles
Ecoutes et soit sage,
Lit, tu verras, cest facile !
De pouvoir vivre en paix,
De savoir ton âme sauvée,
Toi qui ne connais pas,
Ce jésus que je connais moi.
Il ne faut plus attendre !
Si ce soir on t'appelle,
Essaye de comprendre,
Ta vie sera plus belle ;
Si tu veux quelle soit éternelle.
Tu risques de te surprendre !
De te croire une hirondelle
Libre par ton changement
Heureux, joyeux tout le temps,
D'avoir la vie éternelle.
Paquita Rocchia le 5-4-02

JE NAI PAS OSE
Je t'ai aperçue un soir,
Riche comme un bijoux,
Vêtue d'un habit grenat,
Aux volants de velours.
Tu as attiré mon regard
M'éblouissant mes yeux.
Ma main voulait te prendre,
Mais je n'ai pas osée,
Je venais de surprendre,
Ton imense beauté.
Mon coeur un peu trop tendre,
Je n'ai pas pu te couper.
Je n'ai fais qu'une chose,
Te contempler de loin,
Je t'ai laissée heureuse,
Dans ta demeure sacrée.
Toi ma Rose Grandiose,
Que j'ai su respecter.
La fleur la plus précieuse,
Que j'ai vu jusqu'à ici,
Reine et Majestueuse
A la splendeur d'un rubis.
Ta silhouette radieuse
A su me conquérir.
Je t'ai aperçue un soir
Mêlée à de tas des fleurs,
Par ton ravissement
Tu as attendri mon coeur.
Dans mon émerveillement
J'ai su évaluer ta grandeur.
Paquita le 22-5-2000

|